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Danser la poésie,

écrire la danse de la vie.

A coup sûr ce sont des vagues

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2015 - Lecture chorégraphiée

Chorégraphie, danse et lecture à voix haute : Sacha Steurer

Texte de Thierry David, Editions L’Arachnoïde, 2012

Représentations : Festival " Voix vives " à Sète, Festival " Poésie en Arrosoir " à la Chaux-de-Fonds en Suisse, Festival "A l'ombre des arbres " à Parignargues ... 

Par la voix, le corps, la poésie sort du livre pour venir consigner le temps et l’espace, démultipliés par l’expérience de la danse.

Le livre reste sur scène. La lecture se poursuit au-delà du livre. De lui ou de moi, ce qui mène la danse nous échappe. L’écriture du texte et la chorégraphie regardent dans la même direction, vers le large.

Dossier de présentation du spectacle

Vidéo 

"L'air étouffant la brûlure le sable la peur au ventre où suis-je ?/il ne peut y avoir de mémoire là où je suis/le cercle au centre la tâche de lumière naissance du/monde à chaque instant/pas d'origine" Thierry David

Continue

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2017 - Chorégraphie, danse et texte : Sacha Steurer

Musique : Vincent Roussel

Trois éléments dialoguent : tous, corps. Corps dansant, corps battant, corps textuel. Ne s’accompagnent pas, ne s’illustrent pas. Parlent. Tentent de dérouler une parole. Dans l’absolu. Du bégaiement jusqu’au déliement. Aucun objet. Ni dans l’espace, ni de discours. Une volonté : traverser. Parcourir du chemin. Par le mouvement, par le rythme, par le récit. Fourmillements, avalanches. Le silence comme une remise à zéro. Un cycle de vie s’étire. Chaque langage soutient un autre langage. Vers un accroissement de puissance vitale.

 

Accueil en résidence et représentations à La Déviation et au Pôle 164 à Marseille. 

Dossier de présentation du spectacle

« Ici se produit le bond du statique vers le dynamique : par le labyrinthe à une seule entrée, par la langue, l’épée, les dents, le bouclier. Souffle d’air chaud. La mélancolie à nos côtés, de nombreux arbres fruitiers. Donner sa main à la vitesse du train, et cela, par l’anéantissement suprême du point. » Sacha Steurer

Agua Viva

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© Randa Mirza

2014 - Lecture chorégraphiée

Lecture à voix haute : Malaurie Bellocq

Chorégraphie, interprétation : Sacha Steurer

Texte de Clarice Lispector

« Agua Viva » n’est ni plus ni moins qu'un témoignage éperdu de la conscience d’être en vie, d’exister. Agua Viva est une écriture, et plus qu’une écriture : une voix. L’auteur brésilienne vient nous parler de son expérience d’être humain doué de sensations et de réflexions, plongée dans le mystère de la vie et de l’inconnu. Animée par le feu, l’élan vital qu’elle ne cesse de décrire, Clarice Lispector écrit avec la force du corps. C’est bien ce qui rejoint les deux artistes, la lectrice et la danseuse dans la même recherche que l’auteur : une recherche infinie de l’expression de la sensibilité humaine « derrière ce qui est derrière la pensée ».

Accueil en résidence et représentation au CIAM à Marseille.

"Mon thème est l'instant ? Mon thème de vie. Je cherche à lui être pareille, je me divise des milliers de fois en autant de fois que d'instants qui s'écoulent..." Clarice Lispector

Pour vivre ici

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© Thierry David

2013 - Chorégraphie, interprétation : Sacha Steurer

 

Le silence s’est imposé. Il a pris place pour faire de la place, pour vivre ici, présente. Pour ne plus douter et aller vers l’évidence. Le silence dit l’évidence. Je découvre sa force de dépouillement et je la suis. Et j’écoute le rythme qui advient. Un feu qui n’est pas à produire mais une force à surprendre et à transmettre apparaît. Qui danse ce qui fait danser. Un pouvoir qui traverse sans dire « Je ». Un pouvoir qui ne m’appartient pas. Qui monte des profondeurs pour s’offrir. 

Dossier de présentation du spectacle

Vidéo

« Je fis un feu, l'azur m'ayant abandonné, 

Un feu pour être son ami,

Un feu pour m'introduire dans la nuit d'hiver, 

Un feu pour vivre mieux. »

Paul Eluard

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